Le diagnostic de performance énergétique est un indicateur essentiel pour les acquéreurs et les investisseurs. Mais quelles sont les conséquences d’une mauvaise note ?

Alors que le marché immobilier ralentit en Ile-de-France, les mauvais diagnostics de performance énergétique (DPE), dont la mention est désormais obligatoire dans toutes les annonces, sont un frein supplémentaire à l’achat, comme le souligne Gilles Parent, fondateur des agences Parent dans les Hauts-de-Seine : « En dessous de la note E, les acquéreurs ne viennent pas visiter le bien. »

Et cela est vrai aussi bien pour les investisseurs, qui seront bientôt empêchés de mettre en location les biens les plus mal notés, que les acquéreurs qui souhaitent se loger, inquiets pour leur porte-monnaie, déjà mis à mal par la hausse des taux de crédit et des coûts de l’énergie.

Alors que le marché immobilier ralentit en Ile-de-France, les mauvais diagnostics de performance énergétique (DPE), dont la mention est désormais obligatoire dans toutes les annonces, sont un frein supplémentaire à l’achat, comme le souligne Gilles Parent, fondateur des agences Parent dans les Hauts-de-Seine :

« En dessous de la note E, les acquéreurs ne viennent pas visiter le bien. »

Et cela est vrai aussi bien pour les investisseurs, qui seront bientôt empêchés de mettre en location les biens les plus mal notés, que les acquéreurs qui souhaitent se loger, inquiets pour leur porte-monnaie, déjà mis à mal par la hausse des taux de crédit et des coûts de l’énergie.

Car plus le DPE est mauvais, plus la consommation et les factures d’énergie seront élevées. Or, la majorité du parc est mal notée, « qu’il s’agisse de bâtiments haussmanniens, des années 1930 ou d’après guerre », avertit Stanko Trifunovic, directeur technique de l’Association des Responsables de Copropriété. « On s’attend à une explosion des charges l’hiver prochain », ajoute Roselyne Conan, directrice de l’Agence nationale pour l’Info

 

Source : L’OBS